lundi 23 juillet 2007

Sunday 23rd of July: Steve Vai at the Hammersmith Apollo!!!!!!!!!



Au grand dam de ceux que je saoulent déja avec la guitare, la review qui va suivre va parler à outrance de ce sujet. Et pour cause, ce dimanche 23 Juillet se produisait le plus grand guitariste actuel en guitare électrique... Je me devais de ne pas le manquer.

Petite biographie du personnage:

"D'abord élève de Joe Satriani, Vai jouera par la suite au sein du groupe de Frank Zappa. L'influence de ce dernier est d'ailleurs très marquée dans certains titres, principalement au début de la carrière solo de Vai.

Par la suite, Vai se démarquera de ce style pour adopter un genre plus personnel.

Avec des intrusions dans divers groupes de renom, Vai reste sans nul doute l'un des plus grands guitaristes de ces vingt dernières années."

Résumé du concert: je me pointe tranquillement un peu avant 20h, pour voir la fin de la première partie. Un mec solo à la gratte électrique (on apprendra plus tard qu'il s'appelle Zack) qui au début m'a un saoulé, mais sur la fin m'a fait hurler de rire... Un peu le Gad Elmaleh de la guitare... Pour clore son show il fait une reprise du célèbre "Voodoo Child" d'Hendrix, en reprenant toutes les voix à la guitare: chant etc... Et tt à la fin, le truc inattendu, il mime une fin de show dantesque avec la batterie, la basse, un peu à la Gad Elmaleh mais en plus drole... Et mine de rien, il est plutot très bon à la guitare...
En bref, une bonne mise en bouche pour ce qui va suivre.

Après de longues préparation, le groupe se pointe vers 20h30 (ah oui ca change de la province en France où la tête de show se pointe rarement avant 22h). Le concert commence par une intro qui met bien dans l'ambiance, et lorsque Steve se pointe dans le noir avec sa guitare fluorescente c'est l'euphorie. Le premier truc qui me met une claque c'est la puissance du son... La basse et la batterie sont over-présentes et martellent les oreilles comme j'ai rarement entendu, une bonne claque en somme.

La deuxième nouveauté c'est le line up du groupe: exit la dream team (les fabuleux Tony Mc Alpine à la guitare et Billy Sheehan à la basse), et bienvenu aux 2 violonistes/claviers 1 fille et 1 vieux. Au début je n'entends pas trop les 2 violons, mais par la suite, Steve leur laisse une grande part de soli et on peut apprécier la technique des 2 énergumènes... En gros ils shreddent au violon... Petite explication: dans le monde de la guitare, c'est quelques 10 dernières années les guitaristes virtuoses n'ont cessé de mettre l'accent sur la rapidité de jeu, parfois au détriment du sens musical même... Pour peu que je connaisse le violon, les virtuoses de l'instrument jouent il est vrai parfois assez vite (cf les caprices de Paganini). Mais bon, là c'était vraiment excessif genre monter une gamme le plus vite possible... Donc au début, j'étais pas trop impressionné et enthousiasmé par la présence de ces violonistes.

Par la suite, Steve romp avec son programme habituel en nous proposant tout un acte acoustique... Et là je dois dire que j'étais soufflé, c'est la vraie nouveauté de son show et j'ai trouvé cette partie géniale. Steve se pose avec une guitare acoustique (chose que je n'avais jamais vu auparavant dans ses vidéos, il a tjs une électrique entre les mains). Du coup, les violons présentent bien plus d'intérêt et les ambiances mises en place les unes après les autres sont géniales. Coup de coeur du show.

Pour finir, Steve revient avec du lourd, un peu sa spécialité, pour abreuver les guitaristes de tous poils, mais aussi les autres. Le public aura été très récéptif au Show de Mr Vai et il saura le rendre à son public par un beau bain de foule à la fin...

Humm en somme un très beau concert, où les ambiances changent et nous emportent, et où mine de rien, l'ami Vai aura tenu 2h30... Le retour en métro se révèle assez bordelique because y'a plus bcp de métro à cette heure là... Et moi comme j'y comprend rien, il faut qu'il y ait un étudiant afghan qui m'indique mon chemin, sympathique rencontre d'ailleurs.

dimanche 22 juillet 2007

2° week end à Londres : Samedi

Aujourd’hui c’est le grand déménagement. Enfin, je change juste de place pour me mettre en colocation suite à mes recherches fructueuses la semaine dernière. Il était d’ailleurs temps pour moi de quitter ma chambre à l’hôtel. En, hier matin, il a plu fortement et il y a eu des infiltrations d’eau qui coulaient du plafond au sol. A midi, en rentrant dans ma chambre j’hallucine un peu, je descends à l’accueil pour leur demander ce qu’ils peuvent faire. Ils m’envoient un mec qui change ma literie et mets une bassine par terre, alors que ça coulait au moins en 3 endroits différents… heureusement ça coulait dans la zone près de la fenêtre, y’a rien, pas de truc électrique etc… Mais bon, l’inquiétude toute la journée qu’il pleuve à nouveau et que ma chambre soit quelque peu inondée… D’autant qu’ils ne veulent pas me filer d’autre chambre pour la nuit… Finalement plus de peur que de mal, il a fait beau le reste de la journée donc j’ai été peinard.

Pour ce qui est de la nouvelle colloc’ : hum dès mon arrivée il semble régner une bonne ambiance, un de mes collocs Gareth (l’autre s’appelant Simon… C’est Simon&Gar(funk)eth, pardon pour cette blague foireuse) a invité pas mal de ses potes (d’université je pense) et ce soir ils vont à une « party » sûrement rejoindre d’autre potes de l’université. La fille qui vivait avec eux part aujourd’hui aussi, donc on est pas mal à la colloc quand j’arrive. Je pose juste mes affaires, Gareth me remet les clés et m’indique 2-3 trucs, enfin je pense que demain on aura plus de temps pour discuter et puis je commencerais à emménager complètement mes affaires.
Je m’attarde pas trop et je repars en ville destination : Camden.




Hum alors petit éclaircissement, Camden est un lieu où vis la communauté arty de Londres, entendez par la : punk, hippies, marginaux en général… J’utilise ce terme péjoratif car j’ai l’impression qu’en Angleterre, ils n’ont pas la même limite de marginalisation, ils emblent pas mal plus ouvert d’esprit au vu de la « tolérance » des différents styles de vie dans la capitale. Enfin, à part ça, Camden est réputé pour être un marché énormissime le week end… Donc j’arrive c’est noir de monde vraiment « overcrowded ». En fait, heureusement que je me laisse pas tenter, autrement j’aurais acheter 1 million de gadgets et conneries en tous genres parce qu’il y a vraiment de tous, surtout au niveau des fringues… Enfin, j’ai quand même repéré une lapsteel guitare premier prix à 140 euros dans le magasin d’instruments exotiques du coin ;) je sais pas si je vais craquer plus tard dans le séjour.




Enfin, comme il me reste un peu de temps je décide de faire un crochet par South Kensington pour visiter le musée d’histoire naturelle sur lequel le guide du routard ne tarit pas d’éloges… Pour finalement me rendre compte que les musées c’est vraiment un truc de français… Au moins la moitié des gens parlent français autour de moi… En fin de compte le musée est pas mal, avec de très belles maquettes et reconstitutions (les dinosaures sont impressionnants).

A propos de français, ce midi j’ai mangé dans un petit resto recommandé par le guide du routard et spécialisé en burgers. L’accueil est très charmant(e) je m’installe au fond pour être tranquille. En fait lorsque la serveuse me parle, je catche directe qu’elle est française à son accent, mais je fais style de rien, je poursuis en français. Au final, au moment de payer l’addition, elle voit que j’ai un guide du routard et me demande si je suis français, je rigole un peu et je lui réponds qu’effectivement je suis français et que j’avais grillé depuis le début qu’elle était française, ce à quoi elle répond qu’elle n’est là que depuis 3 semaines… Enfin, je n’ai malheureusement pas lâché un « Oh cousine, t’yé bonne, moi joto lo dis » de rigueur, m’enfin, c’est qu’on perd ses habitudes quand on part à l’étranger…

Ballades dans Londres

Cette semaine comme j’étais logé à l’hôtel, juste en face de mon boulot, j’avais pas mal de temps le soir pour flâner, j’en ai donc profité pour me balader dans les rues du centre de Londres, voici où je suis allé :




- Une première ballade de Southwark jusqu’à Piccadilly Circus en passant par Southwark, Waterloo, les parcs le long de la Tamise, London Eye, Charing Cross. En chemin, les pubs sont remplis, tous les travailleurs en costard 3 pièces boivent une bière avant de rentrer à la maison, un phénomène pas mal répandu à ce qu’on dirait… Plus on se rapproche du centre, plus les bâtiments aux architectures inventives, édifiantes, se succèdent. Une première ballade fort sympathique. Charing Cross est une place magnifique, c’est pas la place Stanislas, mais ça assure bien quand même.




- Une deuxième ballade, qui m’emmène vers Tower bridge et le quartier des affaires à Londres. Encore une fois les monuments de verres font briller Londres au coucher de soleil. Les bords de la Tamise sont toujours autant animés et agréables avec cette place où Gibson le célèbre fabriquant de guitare (non c’est pas un australien) a exposé des sculptures de Les Paul géantes (c’est ma gratte donc c’est la classe héhé) peintes par des artistes du coin et signées par quelques grands noms : Paul Mc Cartney, Rod Stewart, Ozzy Osbourne… Sur cette même place se déroule un festival estival fort sympathique et gratuit qui plus est… Que demande le peuple ? Ce soir c’était un petit groupe de funk qui nous régale de ses cocottes funky à la guitare et de ses pêches aux cuivres, bien… Péchues. J’ai réitéré cette ballade le soir suivant en compagnie de Cyril Vuillecard, comme quoi je suis pas tout seul à Londres.

1° semaine de stage


Le stage a commencé lundi aprèm’. L’entreprise est implantée dans l’université de South Bank, qui comme son nom l’indique est située dans le sud de Londres. Premier choc, on rigole pas avec la sécurité de ce coté-ci de la manche… Porte tournante à l’entrée, tourniquets et portiques dont l’ouverture est commandée par une carte magnétique, agents de la sécurité à l’entrée… Timidement, je demande à l’accueil si la personne peut joindre mon tuteur Bob par liaison téléphonique directe. Après une petite attente, mon tuteur se pointe… Premier contact avec M. R E Imhoff… Un vieux (plus de 50 ans quoi ;)) bien dynamique et qui me met à l’aise dès le premier contact, par son humour incessant. Il commence par me briefer sur l’entreprise et sur le stage, puis il me présente à l’équipe (en gros 3 personnes principalement, c’est pas non plus une multinationale). Je prends doucement mes fonctions mais l’aprèm’ est bien vite finie… Eh oui, ici l’ambiance est cool, les horaires sont du style 10h 17h30 avec une pause le midi pas trop longue (de 30 min à 1h), je suis seul sur mon projet donc je fais mes manip’s tranquille et je rends juste des compte à mon boss Bob.

Petite parenthèse sur la recherche dans le monde anglo saxon. On a discuté de cet aspect avec Bob, il m’a dit qu’il pensait que les français avaient une approche beaucoup plus théorique dans la science, tandis que les anglo saxon ont beaucoup plus l’aspect pratique. En témoigne mon air béat lorsqu’après avoir fini une série de manip’ Bob me demande mon « log book »… « Hein, t’yas fumé cousin vazy tu veux un coup de tête ? »… Donc incompréhension, nous autres pauvres étudiants français ignorons ce qu’est un log book… En gros il s’agit d’un carnet de bord très rigoureux (signature dates, pas de ratures de blancs…) où l’expérimentateur explique ses démarches, hypothèses, les modèles qu’ils utilisent, quels outils avec quels paramètres, les résultats de ses manips, ses calculs… Bref tout son boulot. Il y a 2 buts à cela : premièrement, si le chercheur en question s’atèle ensuite à autre chose, n’importe quel autre chercheur peut reprendre ses recherches à partir du log book. Deuxièmement cela prouve qui est l’inventeur dans un cas de litige à propos d’un brevet par exemple. Bob m’a conté à ce propos une histoire très intéressante relative à la propriété intellectuelle. Il s’agit de l’invention du laser. Les 3 inventeurs récompensés du prix Nobel de Physique dans les années 50 ont en fait exploité pleinement les résultats du log book d’un de leurs étudiants. Cependant, l’étudiant en question, en plus d’être brillant, était un petit malin. Lorsqu’il a consigné ses résultats dans son log book, il a fait authentifié son log book par un cabinet d’avocats (ou de notaires… Jsuis pas spécialiste sorry). Du coup, même s’il n’a pas gagné le prix Nobel et a été bien oublié dans l’histoire, il a pu par la suite toucher des royalties à chaque fois qu’un organisme a voulu utilisé son invention… La conclusion de Bob, est qu’à son avis cet étudiant ne s’en est pas mis plein les poches pour autant… Ce sont les avocats qui s’en sont mis pleins les fouilles avec tous les procès ;).

Donc le boulot à proprement parler, c’est des manips, au début pas très bien fichues puis qui s’améliorent, des mesures, des graphes excels, des publis à lire… De la recherche appliquée quoi. Bien sympa, mais pas toujours captivant… Ah oui, et puis il y a l’expérience d’Internet au boulot. C’est bien Internet, tout a fait indispensable pour rechercher des publis, des notices d’appareils, des traducteurs français/anglais… Et puis pour looser, chercher ses billets de train, discuter sur MSN… Alors oui il ne faut pas en abuser, disons qu’il faut bien doser…

lundi 16 juillet 2007

L'escapade Scofield: suite et fin

Si vous avez bien suivi, je n'ai pas trop le choix pour avoir une place pour le concert de ce soir. Heureusement avant de partir j'avais repéré la salle de concert sur le London AZ (la bible des plans de Londres). Enfin j'arrive dans le quartier de Barbican et je parviens tant bien que mal à trouver la salle du Barbican Hall. Très classe autant vu de l'extérieur que de l'intérieur, je parviens à la fin de ma quête, il reste des places disponibles encore pour le concert de ce soir...

Petite description:

"Crazy jazz trio Medeski, Martin and Wood are joined by uber-guitarist John Scofield on tour in support of the new release by the four, . This show at London's Barbican Centre also features The Bays.
Scofield is a master of improvisation and has his own distinctive slightly distorted guitar style, taking his sound from a collision of jazz, rock and soul. His solid-gone lead and grooves spark well with MMW's funky jazz sound."

En résumé, j'y vais pour John Scofield un grand monstre sacré de la guitare Jazz, dont on ne compte plus les collaboration, citons la plus fameuse... John Mayer... Non je plaisante il s'agit bien sur de Miles Davis dont il fut le guitariste à partir de 1982. John est vraiment le genre de guitariste complet: jazz, blues, rock, expérimental ... Comme sa prestation de ce soir va le démontrer.

J'arrive donc au Barbican juste à l'heure pour assister direct au show de Sco. Trois premières compositions/Jam, un groove du diable s'installe, très bon feeling. Scofield est à son aise en tant que soliste principal du groupe, bien que les autres ne soient pas en reste. Puis vient la seule reprise que je connaissais "cissy strut" (en fait John Mayer l'a reprise lui aussi en live ça aide ;)). Morceau énorme, le claviériste se réveille enfin et nous sort un solo excellent... La suite est assez typique d'un concert de jazz à mes yeux: des longueurs qui m'endorment, des passages magnifiques parsemés ça et là, quelques impro démentes sur tous les instruments, Scofield passe sans aucun problème de registre en registre: solo de guitar hero du hard rock, puis jeu jazzy complètement out, pour enfin faire mumuse avec sa pédale d'expression et réaliser des trucs assez improbables avec ses boucles d'effets, tout ça en direct, pendant le morceau... Ce type tourne pas rond, il mixe avec les pieds!!!

Enfin, après 1h30 de concert, un bref rappel, je ressors sonné de ce concert de très bonne facture je dois le reconnaître...

Mine de rien je me faisais la réfléxion, en l'espace d'un an si tout se passe bien j'aurai vu une grande partie des guitaristes les plus influents sur mon jeu de guitare et sur le monde de la guitare ces dernières années: John Butler, Sylvain Luc, Biréli Lagrène, John Scofield, Steve Vai et Chris Shenney (The Living End) bientôt je l'espère... Manque plus que mon ptit John Mayer...

dimanche 15 juillet 2007

2° jour à Londres, 1° jour de tourisme




Après une nuit tranquille à l'hotel et un pantoufflage matinal se prolongeant jusqu'à 13h je me décide enfin à sortir, direction Picadilly Circus, le centre touristique de Londres.
Quelques stations de métro plus loin, j'arrive dans le coeur de la folie touristique... Alors oui, c'est sur en arrivant, on comprend bien la grandeur de la capitale (pour les petits malins qui ne s'en douteraient pas, je n'ai pas d'appareil photo, donc tout ce que vous voyez ici est à titre d'illustration)... Mais cette beauté architecturale est bien vite gachée par les panneaux publicitaires d'une taille record et par une foule infernale en journée... M'enfin passons.

La journée se poursuit par le fil rouge du jour: acheter une place de concert pour John Scofield ce soir. Et là c'est le drame... Je croyais naïvement que pareillement à la France les Virgin Megastore UK et consorts avaient un service billeterie eux aussi. Que nenni, j'ai dû demander à plusieurs reprises au personnel de Virgin où je pourrait me procurer cette denrée rare... Anecdote amusante, ils m'ont tous dirigé vers Leicester Square qui est réputé comme je l'ai aperçu pour.. Sa vente de ticket de théâtre et comédies musicales! Fourvoiement complet, au final, j'apprends qu'il n'existe pas de magasins spécialisés dans la billeterie en Angleterre: les 2 alternatives sont donc de commander par internet ou d'aller à la salle de concert pour acheter les billets (j'y reviendrai après). Aussi, je ne manque pas de visiter les Virgin et autres magasins du même genre, 10 x plus fournis que n'importe quel magasin du même genre en France :) avec quelques emplettes à la clé: le cd de Robert Cray "Strong Persuader" (qui date de 1986 tout de même).


Le Jayjay ne serait pas ce qu'il est sans sa visite traditionnelle des magasins de guitares locaux. Coup de bol, le guide du routard indique la Mecque des magasins dans une rue dans le centre. Ni une ni deux, je m'y rends, en me plantant une fois de chemin, découvrant ainsi le charmant quartier d'Holborn (cf le Starbucks).


Après ces péripéties, je croise la fameuse salle de l'Astoria à Londres et j'entre dans Denmark Street où les magasins de gratte sont collés les uns aux autres. Bon les prix sont pas top, je passe mon chemin... Cependant je remarque qu'un des magasins vend pas mal d'accessoires pour les grattes: corps de guitares, mécaniques, micros etc... A tout hasard je me dis "tiens si je demandais une manivelle adaptée aux clés pour l'accordage/désaccordage de la gratte lors du changement des cordes"... Une bonne idée si l'on maîtrise un tant soit peu l'anglais.. Ce qui n'est malheureusmeent pas mon cas.. Alors j'ai demandé approximativement "the thing that you use to tune up faster your guitar, you know with the key to rotate..." Le mec pige enfin ce que je dis et me montre les manivelles... Moment drole somme toute.

Enfin, il s'avérait que ce week end se déroulait le Tin Pan Alley festival, sorte de tremplin pour les groupes émergeant de Londres se déroulait dans cette rue. C'est l'occasion de croiser la population rock anglaise (bien plus qu'en France) et d'écouter leurs jeunes groupes locaux... Il y a la patate, manque le talent et la cohésion...

samedi 14 juillet 2007

Avertissement

1°) L'Ecole des Mines de Nancy n'entend donner nonobstant aucune approbation ou improbation au contenu et aux opinions émises dans ce présent rapport. Ces opinions pénultièmes doivent être considérées a forciori comme propres à leur auteur qui les émet en toute conscience.

2°) Oh cousin, c'est pas bientot fini tes emboukannages, moi je te le dit.